dimanche 21 mai 2023

Les heures creuses

 

    


            Les heures creuses ne sont jamais perdues

            L’ennui dérive

            Les mots s’écrivent à l’écart de la folie des hommes

            Il ne faut pas que les fleurs du silence perdent leurs pétales

                       

                        Nathalie Boniface-Mercier

 


Par

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)

Archives

L'appel des chemins verts

Mes consultations

  • Collier des jours
      La datcha semble assoupie ces derniers temps. Les semaines chargées m’accaparent. Il me vient parfois des idées de chroniques, une jolie p...
  • Dilemme
      S’il me fallait choisir Entre ma garde-robe et ma bibliothèque Je garderais mes livres Et un vieux pull qui a mémoire de mes anciens chagr...
  • Patience
                      L’une des qualités indispensables à ceux et celles qui écrivent est la patience. Un livre prend du temps à écrire. Et êt...
  • La création
           La création   Sinueuse et indomptable Elle repousse Les plaques tectoniques de notre conscience   Elle gronde     sourd  ...
  • Commencer
                  «  L’unique joie au monde est de commencer. Il est beau de vivre car vivre c’est commencer, toujours à chaque instant . » Je n...
  • Ne te retourne pas
             Trace           Arpente           Ne te retourne pas           Les rideaux battent au vent           À la fenêtre ouverte ...
  • Les oies sauvages
      Les oies sauvages s’accaparent le ciel Silhouettes d’airain effilées dans le gris anthracite Elles répondent à l’immuable destinée sai...
  • Vous reprendrez bien un peu de créole
                  Je dois à deux amies ma découverte récente de la littérature antillaise, malgré un séjour il y a presque trente ans en Martini...
  • Le foisonnement du monde
                   Lorsque le monde saigne, le pouvoir des mots paraît bien insignifiant. Pourquoi écrire ? Que dire quand des hommes fuient le...
  • Les heures creuses
                       Les heures creuses ne sont jamais perdues             L’ennui dérive             Les mots s’écrivent à l’écart de la ...